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Agen

Agen [aʒɛ̃]2 est une commune française située dans le département de Lot-et-Garonne – dont elle est la préfecture – en région Aquitaine. Ses habitants sont appelés Agenais(es) (ou Agenois(es), appellation ancienne tombée en désuétude). Le pays qui l'entoure, sur les deux rives de la Garonne, est l'Agenais.

Avec 33 245 habitants en 20083, elle est la 229e commune de France par sa population. Son agglomération compte 77 031 habitants (2007)4et son aire urbaine est la 74e de France avec 104 779 habitants (2007)4. Enfin, Agen est au cœur du 31e espace urbain de France avec 155 523 habitants (2007).

La région est traversée par deux cours d'eau : la Garonne et le Lot. Plusieurs vallées entourées de coteaux complètent le paysage assez agricole.

Agen est situé dans le sud-ouest de la France dans le sud-est du département de Lot-et-Garonne sur la rive droite de la Garonne et au bord du canal latéral à la Garonne(l'entre deux mer). La ville se trouve entre Toulouse (115 km) et Bordeaux (140 km).

Distance des grandes villes françaises:

Ville

Toulouse

Bordeaux

Périgueux

Montpellier

Marseille

Nantes

Lyon

Nice

Paris

Distance

Orientation

115 km

(S-E)

140 km

(N-O)

139 km

(N)

417 km

(E-SE)

593 km

(S-E)

529 km

(N-NO)

518 km

(NE)

812 km

(E)

622 km

(N-NE)


La ville bénéficie d'un climat tempéré doux en automne, avec des printemps le plus souvent pluvieux et humides, des étés assez chauds et secs et des hivers doux. L'hiver est doux et le mois de janvier le plus froid comporte des températures proches de 5 °C. Le record de température minimale a été enregistré à -17,4 °C en janvier 1985. Au printemps, les températures sont en hausse régulière avec des mois d'avril et de mai souvent pluvieux. L'été est chaud et sec et les records de chaleur sont réguliers. Les orages sont des phénomènes réguliers dont les précipitations sont abondantes et ponctuelles. Enfin, l'automne est doux et peu pluvieux5.

Agen est situé à mi-chemin entre Bordeaux et Toulouse sur un axe majeur de la vallée de la Garonne emprunté depuis plusieurs milliers d'années. Aujourd'hui, la commune est traversée par la RD 813(ancienne RN 113) menant au sud-est vers Toulouse et au nord-ouest vers Bordeaux. Un deuxième axe principal, l'autoroute A62, passe au sud de la ville. Ces deux axes de communication longent laGaronne et le canal latéral de la Garonne. Un troisième axe principal, la route nationale 21, mène au nord à Villeneuve-sur-Lot puis à Bergerac dans le département de la Dordogne et enfin Limoges en Haute-Vienne. Au sud, cette même nationale permet de rejoindre Auch dans le Gers, Tarbes et Lourdes (Hautes-Pyrénées). Le réseau secondaire est composé de plusieurs routes départementales. Au nord-est, la route départementale 656 rejoint Tournon-d'Agenais puis Cahors dans le département du Lot. Au sud, la route départementale 931 rejoint au sud-ouest Condom et Eauze dans le département du Gers.

Chemin de fer :

Article détaillé : Gare d'Agen.

L'Aéroport Agen-La Garenne est situé sur la commune du Passage, à 3 km au sud-ouest d'Agen sur un ancien terrain militaire. Il est géré par le syndicat mixte pour l'aérodrome départemental de Lot-et-Garonne composé du conseil général de Lot-et-Garonne, de la communauté d'agglomération d'Agen, de la Chambre de commerce et d'industrie et de la Chambre des métiers. Trois vols aller et retour quotidiens sont assurés par la compagnie Airlinair, et permettent de rejoindre l'aéroport d'Orly à bord d'un ATR 42 de 48 sièges. Le service a repris le 7 janvier 2008 après une suspension de plusieurs mois consécutive à la faillite de la compagnie portugaise Aerocondor. En 2009, le nombre de passagers était de 27 7317. L'aéroport n'assure pas le fret de marchandises.

Le réseau Transbus exploité par la société Keolis Agen et desservant 8 des 12 communes constituant la Communauté d'Agglomération d'Agen (CAA) : Agen,Le Passage d'Agen, Boé, Bon-Encontre, Foulayronnes, Colayrac-Saint-Cirq, Saint-Hilaire-de-Lusignan et Layrac représentant 68 000 habitants sur les 77 000 que compte la totalité de l'agglomération. En 2009, le nombre de voyageurs annuels était de 1 270 000 pour plus d'un million de kilomètres parcourus.

- 6 lignes régulières :

  • A Lalande ↔ Agen Sud et A bis Blum ↔ Azur

  • B De Gaulle - Bon-Encontre Mairie ↔ Le Passage Bellevue

  • C Foulayronnes Chant d'Oiseaux - Hôpital ↔ Esquirol - Boé Aquitaine

  • D Préfecture ↔ Monbran

  • E Préfecture ↔ St-Hilaire de Lusignan

  • G Préfecture ↔ Centre Omnisport - St-Pierre de Gaubert

- 3 navettes gratuites :

  • Agglo express Parc des Expos ↔ Préfecture ↔ Carnot ↔ Donnefort

  • Agglo express Demi Lune Le Passage ↔ Préfecture

  • Coeur d'Agen Gravier ↔ Place des Laitiers ↔ Gare ↔ Préfecture ↔ Gravier

- 4 services de Transport à la demande :

  • F Le Passage Bellevue ↔ Bourg ↔ Préfecture

  • TAD Layrac Goulens ↔ Layrac centre ↔ Préfecture ↔ Gare

  • TAD Bézis Bézis ↔ Agen centre

  • TAD Gaillard Gaillard ↔ Agen centre

- Services du dimanche :

  • A Lalande ↔ Université

  • TAD Soir Gare ↔ Université ↔ ENAP ↔ Parc des expos (direct)

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Agen comptait 17 983 logements en 1999. Les constructions neuves sont peu présentes puisqu'en 1999, seulement 7,9 % des résidences principales étaient postérieures à 1990. A contrario, les constructions antérieures à 1949 représentaient 39,4 % du parc.

86,3 % des logements sont des résidences principales, réparties à 36,4 % en maisons individuelles et à 63,6 % en appartements (respectivement 70,7 % et 29,3 % dans la région). La ville possède donc une majorité de logements collectifs contrairement au reste de la région8,9. 31,6 % des habitants sont propriétaires de leur logement, contre 64,7 % qui ne sont que locataires (respectivement 58 % et 36,6 % dans la région)10,11.

À noter qu’avec 3 059 logements HLM soit 19,7 % du parc en 1999 (10% dans la région), la ville ne respecte pas tout à fait les dispositions de l’article 55 de la loi solidarité et renouvellement urbain(SRU) de décembre 2000 fixant à 20 % le taux minimum de logements sociaux pour les communes les plus importantes. On peut noter en outre que le nombre de logements vacants était assez important en 1999 avec 11,4 % du parc contre seulement 6,7 % dans la région8.

La plupart des habitations possèdent 4 pièces (44,4 %), ou 3 pièces (26,3 %), puis 2 pièces (17,7 %). Les petits logements sont assez nombreux (studios : 11,6 %). La ville possède par conséquent des logements de taille modeste. Enfin il faut préciser que ces logements sont bien dotés puisque 94,8 % ont le chauffage central et 45,2 % possèdent un garage, box ou parking (respectivement 79,8 % et 65,9 % pour la région)8.

Depuis les élections de mars 2008, la nouvelle équipe municipale conduite par Jean Dionis du Séjour a entrepris un vaste programme de revitalisation du centre-ville : création de places de parkings en périphérie avec navettes gratuites vers le centre, piétonnisation en cours des rues commerçantes, création d'un multiplexe aux portes du centre, création d'une zone 30, etc.

  • Les armoiries d'Agen sont : de gueules, à une aigle volant de profil, d'argent, sur laquelle est écrit Agen, en lettres capitales de sable, posées à dextre et une tour d'or, couverte en pavillon de trois pièces, girouettées du même et posée à senestre.

  • Devise : Si le Seigneur ne protégeait pas la cité, c'est en vain que veillerait celui qui la garde.

De l'occitan Agen, lui-même issu du latin Aginnum, tiré de la racine celtique agin (rocher, hauteur)

Le site d'Agen fut vraisemblablement peuplé au moins dès le néolithique mais il est difficile d'en dater l'origine exacte. Les vestiges que nous avons actuellement à notre disposition témoignent d'un peuplement d'origine Ibère aux viiie et viie siècles av. J.-C.. Cependant, le site occupé à cette époque était différent de celui que nous connaissons actuellement : c'est le plateau de l'Ermitage. C'est d'ailleurs cette situation (sur un éperon rocheux) qui donnerait la clé de la toponymie de la cité.

Le site, bien que se trouvant à la confluence de la vallée de la Masse et de la Garonne, n'est pas un des endroits les plus stratégiques de la vallée. Il est donc difficile d'expliquer par la seule géographie la raison pour laquelle les Nitiobroges (peuple Celte arrivé vers 400 avant Jésus-Christ) ont choisi cet endroit pour en faire la capitale de leur royaume. Ils avaient édifié sur ce site une place forted'environ 50 hectares, située à 100 mètres au-dessus du lit de la Garonne. On a trouvé des traces de cette occupation du sol au xixe siècle et plus récemment, grâce au travail de l'équipe des archéologues de l'Agenais.

Le déplacement de la ville vers les terrasses de la Garonne est sans doute antérieur à l'occupation romaine. Il faut mettre en relation ce transfert avec la richesse des échanges commerciaux qui avaient lieu le long du fleuve ainsi que vers les Pyrénées et le Massif central. La découverte de la très riche tombe à char de Boé atteste de l’opulence des élites locales à la fin du premier siècle avant Jésus-Christ.

La ville gallo-romaine a laissé d'importantes et assez nombreuses traces. Malheureusement, elles ont pour la plupart été détruites et en particulier les plus intéressantes. Tout d'abord le théâtre, chose assez rare pour une ville de moyenne importance, d'autant plus qu'Aginnum était aussi doté d'un amphithéâtre (daté de 215 après Jésus-Christ) pouvant accueillir 10 000 à 15 000 personnes, nombre considérable. On a également des indices concernant l'existence d'au moins une nécropole. La ville s'étendait sur 80 hectares et était donc assez riche et surtout peuplée. Mais la prospérité était davantage liée à une activité de transit qu'à un véritable rôle de pôle commercial. Ce passage intense est à mettre en relation avec l'implantation précoce de la religion chrétienne. Dès la fin du iiie siècleles chroniques relatent les martyres de saint Caprais et sainte Foy. Au siècle suivant, l'église chrétienne s'organise avec son premier évêque connu, Phébade, dont les travaux théologiques lui valurent un prestige dans toute la chrétienté.

Comme pour beaucoup de cités, nous avons peu de documents concernant l'époque des Grandes Invasions. Pendant quatre siècles, Agen vit passer lesVandales, les Wisigoths puis les Francs avant de subir les Normands au ixe siècle. En 732, c'est au tour des Sarrasins de l'envahir, mais leur progression est arrêtée par Charles Martel entre Poitiers et Tours. Pépin le Bref poursuit la conquête de toute l'Aquitaine. La ville se replia sur elle-même et se fortifia dans sa première enceinte (une dizaine d'hectares) autour de la cathédrale Saint-Étienne (emplacement de l'actuel marché-parking) et dont la fondation est difficile à dater. N'ayant jamais été totalement terminé, l'édifice s'est détérioré et menaçant de s'effondrer il a été démoli au début du xixe siècle. C'est autour de ce noyau que s'est développée la ville médiévale dont la trame urbaine était organisée à partir de la rue des cornières (dont il reste une partie) qui aboutissait place du Marché (aujourd'hui place des Laitiers) c'est-à-dire au pied de la cathédrale. Les principaux vestiges de l'Agen médiéval sont des édifices religieux. On a déjà vu que la cathédrale Saint-Étienne a disparu. Mais le monument le plus magnifique est sans conteste l'église des Jacobins (aujourd'hui transformée en centre culturel). L'église est le dernier vestige du couvent des Jacobins (ou Dominicains) et date du xiiie siècle. La construction, à l'exception des trois piliers centraux (en pierre) qui séparent le vaisseau en deux nefs est en briques. Les récents travaux de restauration ont dégagé des peintures murales où figure Alphonse de Poitiers (seigneur de la ville et protecteur du couvent à sa construction). Elle fut le lieu de grands évènements locaux ou régionaux : en1354, le Prince Noir y reçut l'hommage de 40 barons et en particulier celui de Gaston Phébus.

La ville comptait un grand nombre d'autres édifices à caractère religieux, couvents ou églises comme l'actuelle cathédrale : la collégiale Saint Caprais, en grande partie de style roman. Autour de l'église il y avait un ensemble architectural pour accueillir les chanoines : monastère, cloître... dont il ne reste que la salle capitulaire. Exploitant les rivalités féodales entre Plantagenêt (succédant aux comtes de Poitiers) et comtes de Toulouse puis entre rois d'Angleterre et Capétiens, évêques et habitants surent échapper à la tutelle de leurs seigneurs.

Dès le xiie siècle, la ville jouit d'une certaine autonomie, elle possède une coutume, des libertés et des franchises. Cette autonomie s'affirme au xiiie siècle (la charte date de 1248) et la tutelle du roi (ou du comte) et de l'évêque est de plus en plus lâche. La ville est administrée par des consuls qui apposent sur les actes solennels le grand sceau de la cité représentant sur l'avers une ville fortifiée avec à l'intérieur un clocher et au revers un aigle. Mais l'administration consulaire n'a rien de démocratique, c'est une oligarchie qui abusa souvent de ses pouvoirs, entraînant plusieurs révoltes populaires aux siècles suivants.

La ville s'est en effet notablement agrandie au cours du Moyen Âge : elle atteint désormais 60 hectares. Agen était une cité prospère et peuplée (peut-être 10 000 habitants alors que Toulouse en comptait moins de 40 000) vivant en particulier des activités liées à la Garonne : commerce, pêche, minoterie. Cependant, bien que la ville n'ait pas trop souffert directement des terribles affrontements de la guerre de Cent Ans (elle y a même gagné un peu plus d'autonomie) elle a subi les conséquences des ravages des contrées environnantes. De plus, XIVe et xve siècles connurent la terrible épidémie de peste noire aggravée par des intempéries nombreuses et dévastatrices. La Garonne en particulier frappa par des crues meurtrières.

De la fin de la guerre de Cent Ans aux premiers troubles des guerres de Religion Agen connut une renaissance autant matérielle qu'intellectuelle. Une vague d'immigration venue du Massif central, de l'Ouest et des Pyrénées repeupla la région. En outre, le diocèse fut dirigé par cinq évêques italiens successifs dont plusieurs issus de la famille La Rovère, apparentée au pape Jules II. Ils étaient de fins lettrés, comme Mateo Bandello, auteur de nouvelles. C'est l'une d'elles, écrite probablement à Bazens, résidence des évêques d'Agen, qui inspira à Shakespeare Roméo et Juliette. Ils vinrent accompagnés de toute une suite composée de gens obscurs mais aussi très brillants comme le médecin et humaniste Jules César Scaliger, connu dans toute l'Europe, ou son fils, Joseph-Juste, acquis à la Réforme (c'est l'un des "illustres" agenais). Agen, cité catholique (et rivale de Nérac, capitale politique et intellectuelle des réformés), fut à plusieurs reprises occupée et pillée par les troupes protestantes durant cette période dramatique. Elle abritera quelque temps la reine Marguerite de Valois, dite la reine Margot.

La paix revenue, la ville connut un regain de prospérité après un Grand Siècle difficile, comme le reste du pays, en raison de conditions climatiques préjudiciables à l'agriculture, activité dont la ville était fort dépendante. Séditions populaires, pestes et famines font que le retour véritable à la prospérité n'eut lieu qu'au xviiie siècle, ce qu'attestent les nombreux édifices civils : hôtels particuliers des riches familles nobles ou bourgeoises enrichies dans l'activité commerçante et textile. Ce n'est qu'à la fin du siècle que fut bâti le magnifique palais épiscopal devenu par la suite siège de la préfecture. Agen est à cette époque une ville manufacturière spécialisée dans la toile à voile mais aussi les draps, cordes et tissus divers. La ville sort de plus en plus de ses remparts. Elle ne craint plus les troubles politiques mais seulement les humeurs de la Garonne. On n'hésite cependant pas à embellir les bords du fleuve en aménageant la promenade dite "du Gravier" plantée d'ormeaux (aujourd'hui amputée et défigurée par la voie sur berge et le mur qui sépare désormais la ville de son fleuve). Cet endroit accueillait les grandes foires, en particulier celle de juin où les chalands venaient de toute l'Europe. La ville dépend en effet de plus en plus de son fleuve qui exporte vers les Amériques la farine du Haut Pays que l'on échange là-bas contre du sucre. On vend aussi aux marins les prunes séchées qui durant la traversée permettent d'éviter le scorbut. Le commerce du vin était aussi très important mais gêné par le privilège des vins de Bordeaux interdisant la vente des vins de l'amont jusqu'à Noël, une partie de la production était transformée en eau-de-vie.

La Révolution puis le blocus continental et les débuts de la révolution industrielle vont porter de rudes coups aux activités agenaises. Mais cet engourdissement économique que l'on constate auxixe siècle est aussi à mettre au compte de la bourgeoisie locale, qui a perdu son dynamisme et se replie sur une rente foncière de moins en moins lucrative : le comice agricole d'Agen de 1855 cherche encore à démontrer la supériorité de la faux sur le volant ! Comme l'a écrit Peter Weissberg dans l'histoire d'Agen parue chez Privat en 1991 : « Agen n'a pas manqué sa révolution industrielle : elle ne l'a même pas tentée ». Ainsi, les atouts que constituaient le chemin de fer et le canal latéral de la Garonne, qui devait, après transformation en « canal des deux mers », selon les militaires "prendre la moitié du trafic de Gibraltar et éviter à notre flotte l'humiliation de passer sous les canons anglais", furent insuffisamment utilisés ou ne virent pas le jour. L'apport de populations venues du Massif Central, des Pyrénées et d’Espagne, compensa le très important déficit de main d’œuvre dans une région en grave déclin démographique mais essentiellement absorbé par la construction et l’agriculture. Le xixe siècle fut cependant celui des grandes réalisations édilitaires. Dès 1827, Agen a enfin un pont (plusieurs tentatives ont avorté, du Moyen Âge au xvie siècle et pendant 300 ans on traversa la Garonne par le bac), doublé par la passerelle suspendue en 1839 et enfin le Pont-Canal, achevé en 1843, véritable chef-d'œuvre doté de 23 arches qui enjambent le fleuve et son lit majeur. C'est en 1875 que la Garonne connut sa crue la plus dramatique (elle fit 500 morts à Toulouse et 8 à Agen) mais le Pont Canal avait résisté.

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